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8 mars : un long chemin vers l’égalité

le 07 mars 2013

8 mars : un long chemin vers l’égalité

Le combat pour les droits des femmes a toute sa place dans les luttes pour l’émancipation humaine.

 La journée internationale des droits des femmes, qui fut initiée avant la guerre de 14-18 par Clara Zetkin, militante féministe et révolutionnaire allemande qu' Aragon met en scène dans « Les Cloches de Bâle », nous donne l’occasion d’évoquer Nathalie Le Mel, dont une rue de Quimper porte le nom.

Cette bretonne, fille d’un ouvrier corroyeur brestois, s’installa en 1849, à 23 ans, à Quimper où elle tint une librairie rue Kéréon et où ses idées avancées heurtèrent la bourgeoisie bien-pensante.

En 1861 elle partit pour Paris où elle créa avec Eugène Varlin, le représentant de l’Internationale, « La Marmite », sorte de préfiguration des Restos du cœur.

Elle joua un rôle important à la tête de l’Union des femmes de la Commune de 1871, cette Commune de Paris qui avait prévu pour les filles un enseignement laïque, gratuit et obligatoire et proclamé l’égalité des salaires entre instituteurs et institutrices.  

Elle y côtoya son amie Louise  Michel, avec qui elle fut déportée en Nouvelle-Calédonie après l’écrasement de la Commune, et d’autres femmes extraordinaires comme Elisabeth Dmitrieff, fille d’un officier tsariste qui avait rejoint elle aussi l’Internationale, ou Sonia Kovalevskaïa, jeune Russe amie de Dostoïevski, qui fut la 1ère femme à soutenir une thèse de mathématiques et  la 1ère titulaire d’une chaire de mathématiques à l’Université.

Devant le tribunal militaire qui jugea plusieurs femmes de la Commune en septembre 1871, le Commissaire du gouvernement prononça cet incroyable réquisitoire :

« Et voilà où conduisent toutes les dangereuses utopies, l’émancipation de la femme, prêchée par des docteurs qui ne savaient pas quel pouvoir il leur était donné d’exercer…N’a-t-on pas, pour tenter ces misérables créatures, fait miroiter à leurs yeux les plus incroyables chimères ? Des femmes magistrats ? Membres du barreau ? Oui des femmes avocats, députés peut-être et, que sait-on, des commandants ? Des généraux ? On croit rêver en présence de telles aberrations ».

À méditer…

Yvonne Rainero

Journée mondiale pour les droits des femmes

le 06 mars 2013

Journée mondiale pour les droits des femmes

 

Parcours de la manifestation : Stalingrad - Bastille

 

 

8 MARS 2013 : L’EGALITE, C’ EST POSSIBLE MAINTENANT !

le 06 mars 2013

8 MARS 2013 : L’EGALITE, C’ EST POSSIBLE MAINTENANT !

 

Le 8 mars est une journée emblématique des luttes des femmes pour faire reculer les discriminations, les dominations, conquérir l’égalité des droits.

Le ministère droits des femmes, pour lequel nous nous sommes battues, doit maintenant avec le gouvernement de gauche, entendre les voix populaires, les voix des femmes, des hommes, qui, il y a un an et avec raison, congédiaient Nicolas Sarkozy.

 

Il faut donc écrire une nouvelle page dont le fil conducteur est l’égalité.

  • L'égalité professionnelle tant promise, n'est toujours pas appliquée malgré la profusion des lois. Les discriminations, les inégalités salariales, la précarité de l'emploi des femmes sont toujours les normes et l'accord national interprofessionnel (ANI), constitue un recul sans précédent, véritable amplificateur de ce que les femmes, les Licenci'elles, les Sodimédicals, et beaucoup d'autres vivent.

Refusons ce mépris, manifestons contre cet accord et imposons une réelle égalité professionnelle, une loi contre les licenciements boursiers, l'abrogation de la loi sur les retraites avec départ à 60 ans pour toutes et tous. Sanctions judiciaires aux entreprises qui n'appliquent pas les lois sur l'égalité professionnelle.

  • Le droit à la santé pour toutes et tous est une exigence et une urgence, d’autant que la loi Bachelot (loi Hôpital Patient Santé Territoire) continue à s’appliquer entrainant une véritable casse du service public de santé.

Exigeons du gouvernement l'abrogation de la loi Bachelot, un moratoire contre les fermetures d’établissements hospitaliers et les regroupements de services.

Demandons la mise en place d’une vraie démocratie sanitaire permettant des débats renseignés et sérieux sur toutes les grandes questions de santé publique. Le grand public doit accéder à des informations sérieuses sur l'ensemble des choix contraceptifs. De réels contrôles doivent être organisés sur les médicaments, loin des pressions européennes et de celles des firmes pharmaceutiques.

Les salarié-es du secteur santé doivent bénéficier de droits et de pouvoirs nouveaux.

  • Les violences contre les femmes ne sont hélas toujours pas éradiquées, malgré la loi du 9 Juillet 2010. Souffrirait-elle du manque de moyens et d'insuffisances pour sa réelle application ?

  • Créons les conditions de l’adoption d'une loi cadre, comportant des mesures de prévention, d’éducation et de sanctions avec des moyens humains et financiers pour leurs mises en œuvre.

 

A bas l'austérité, ce remède qui aggrave la crise ! Pendant que les grands groupes du CAC 40 vont toucher 20 milliards d'euros, des milliers de femmes et d'hommes renonceront à leurs besoins les plus élémentaires. Cela suffit.

Nous sommes solidaires de toutes ces femmes qui agissent partout dans le monde contre l'oppresseur quel qu’il soit, partout, les voix des femmes se lèvent pour la liberté, la paix, la dignité et l'émancipation humaine.

 

Il est grand temps de mobiliser l’argent, les pouvoirs dans le sens des intérêts populaires.

Citoyennes, militantes, féministes, rebelles, ensemble, nous sommes une force déterminante pouvant obliger la gauche gouvernementale à ne pas écouter les sirènes de ceux qui méprisent les femmes et les hommes.

Partout, mobilisons- nous pour faire triompher nos espoirs, ceux de toutes les femmes de la planète, créons cette belle chaîne de la sororité, féminin de fraternité.

Nous sommes solidaires de toutes ces femmes qui agissent partout dans le monde contre l’oppresseur quel qu’il soit. Tunisiennes, Egyptiennes, Iraniennes, Syriennes, Palestiniennes, Maliennes, partout la voix des femmes se lèvent pour la liberté, la paix, la dignité et l’émancipation humaine.

Les femmes ont été à la pointe de ce que l’on nomme ‘’printemps arables’’ et aujourd’hui encore, elles sont au premier rang pour empêcher les dérives sectaires, autoritaires et obscurantistes qui veulent entraver les mouvements de libération des peuples.

En ce 8 mars 2013, nous tenons à faire entendre nos exigences pour libérer les sociétés du poids de la domination masculine (le patriarcat), pour permettre d’évoluer d’un pas de géant dans l’intérêt des besoins humains.

Alors prenons la parole et participons à amplifier l’aspiration d’un vrai changement.

 

8 MARS 2013 : L’EGALITE, C’ EST POSSIBLE MAINTENANT !

 

Le 8 mars est une journée emblématique des luttes des femmes pour faire reculer les discriminations, les dominations, conquérir l’égalité des droits.

Le ministère droits des femmes, pour lequel nous nous sommes battues, doit maintenant avec le gouvernement de gauche, entendre les voix populaires, les voix des femmes, des hommes, qui, il y a un an et avec raison, congédiaient Nicolas Sarkozy.

 

Il faut donc écrire une nouvelle page dont le fil conducteur est l’égalité.

  • L'égalité professionnelle tant promise, n'est toujours pas appliquée malgré la profusion des lois. Les discriminations, les inégalités salariales, la précarité de l'emploi des femmes sont toujours les normes et l'accord national interprofessionnel (ANI), constitue un recul sans précédent, véritable amplificateur de ce que les femmes, les Licenci'elles, les Sodimédicals, et beaucoup d'autres vivent.

Refusons ce mépris, manifestons contre cet accord et imposons une réelle égalité professionnelle, une loi contre les licenciements boursiers, l'abrogation de la loi sur les retraites avec départ à 60 ans pour toutes et tous. Sanctions judiciaires aux entreprises qui n'appliquent pas les lois sur l'égalité professionnelle.

  • Le droit à la santé pour toutes et tous est une exigence et une urgence, d’autant que la loi Bachelot (loi Hôpital Patient Santé Territoire) continue à s’appliquer entrainant une véritable casse du service public de santé.

Exigeons du gouvernement l'abrogation de la loi Bachelot, un moratoire contre les fermetures d’établissements hospitaliers et les regroupements de services.

Demandons la mise en place d’une vraie démocratie sanitaire permettant des débats renseignés et sérieux sur toutes les grandes questions de santé publique. Le grand public doit accéder à des informations sérieuses sur l'ensemble des choix contraceptifs. De réels contrôles doivent être organisés sur les médicaments, loin des pressions européennes et de celles des firmes pharmaceutiques.

Les salarié-es du secteur santé doivent bénéficier de droits et de pouvoirs nouveaux.

  • Les violences contre les femmes ne sont hélas toujours pas éradiquées, malgré la loi du 9 Juillet 2010. Souffrirait-elle du manque de moyens et d'insuffisances pour sa réelle application ?

  • Créons les conditions de l’adoption d'une loi cadre, comportant des mesures de prévention, d’éducation et de sanctions avec des moyens humains et financiers pour leurs mises en œuvre.

 

A bas l'austérité, ce remède qui aggrave la crise ! Pendant que les grands groupes du CAC 40 vont toucher 20 milliards d'euros, des milliers de femmes et d'hommes renonceront à leurs besoins les plus élémentaires. Cela suffit.

Nous sommes solidaires de toutes ces femmes qui agissent partout dans le monde contre l'oppresseur quel qu’il soit, partout, les voix des femmes se lèvent pour la liberté, la paix, la dignité et l'émancipation humaine.

 

Il est grand temps de mobiliser l’argent, les pouvoirs dans le sens des intérêts populaires.

Citoyennes, militantes, féministes, rebelles, ensemble, nous sommes une force déterminante pouvant obliger la gauche gouvernementale à ne pas écouter les sirènes de ceux qui méprisent les femmes et les hommes.

Partout, mobilisons- nous pour faire triompher nos espoirs, ceux de toutes les femmes de la planète, créons cette belle chaîne de la sororité, féminin de fraternité.

Nous sommes solidaires de toutes ces femmes qui agissent partout dans le monde contre l’oppresseur quel qu’il soit. Tunisiennes, Egyptiennes, Iraniennes, Syriennes, Palestiniennes, Maliennes, partout la voix des femmes se lèvent pour la liberté, la paix, la dignité et l’émancipation humaine.

Les femmes ont été à la pointe de ce que l’on nomme ‘’printemps arables’’ et aujourd’hui encore, elles sont au premier rang pour empêcher les dérives sectaires, autoritaires et obscurantistes qui veulent entraver les mouvements de libération des peuples.

En ce 8 mars 2013, nous tenons à faire entendre nos exigences pour libérer les sociétés du poids de la domination masculine (le patriarcat), pour permettre d’évoluer d’un pas de géant dans l’intérêt des besoins humains.

Alors prenons la parole et participons à amplifier l’aspiration d’un vrai changement.

 

Il est grand temps que le sport cesse d'être un support du sexisme !

le 04 mars 2013

 

Tribune libre par Colette Bocher, 

Agrégée EPS, ancienne directrice de l’UNSS des Yvelines, membre de la commission Sport du PCF, syndicaliste et féministe

 

Depuis que le sport existe les hommes en ont fait un terrain de  virilité, le « sport-femelle », selon les termes volontairement méprisants de Pierre de Coubertin, se construisant dans l’adversité.

Il faut se remettre en mémoire les combats, au début du siècle dernier, des sportives de Fémina-Sport, avec pour porte drapeau Alice Milliat, pour bien mesurer l’oppression spécifique qu’impose le sport masculin aux femmes, avec en contre-partie le courage et l’audace de leur part à affronter et à construire y compris des Jeux Olympiques Féminins.

Ce qualificatif de femelle, qui dans notre langue est réservé aux animaux, révèle le mépris d’une société tout entière, qui tarde à reconnaître aux femmes l’égalité citoyenne dont le droit de vote en 1944, et le droit de « disposer de leur corps » en 1975 !

Mais encore maintenant, les femmes sportives sont identifiées sous le vocable « féminines » ! « Sont-elles de vraies femmes ? » s’interrogerait de manière ironique Catherine Louveau.

Le sport reste un lieu identifié de culture du sexisme. Mais avec le virilisme hypertrophié du football masculin,  dont les rites sont grossis par la télévision, la presse écrite, et les journalistes à leur service,  cette culture atteint son paroxysme.

Ce n’est sans doute pas un hasard, si son envers, le football féminin, devenu le « foot des princesses », fait l’objet de tentatives de confinement et d’un enfermement de « conte de fée » écrit Nina Charlier, qui sert de camouflage à son rejet.  Souvenez-vous des vraies batailles, y compris juridiques, d’équipes féminines de football pour exister ! Comment des femmes osent-elles occuper le sacro-saint théâtre de la vénération des performances masculines et exiger l’égalité  d’accès et de droits ?                

Mais jamais, que je sache, un responsable de l’Education Nationale, ne s’est autant égaré sur un sentier sexiste … à ce niveau !

Depuis que les programmes de l’enseignement secondaire de 1945,  ont unifié les contenus à l’identique pour les garçons et les filles, et officialisé l’existence et le fonctionnement sportif et associatif des Associations sportives scolaires, ( OSSU, ASSU, puis UNSS ), les mêmes droits n’ont cessé de se construire et de se développer autour d’un projet social égalitaire pour tous : scolarité obligatoire jusqu’à 16 ans, mixité dans les classes .

Et l’UNSS s’est toujours positionnée en maillon fort de cette conquête d’un sport créatif et attractif pour toutes et tous ! Elle a  été porteuse d’innovations et d’ouverture à tous les niveaux de pratique et sur pratiquement tous les sports. Souvenons-nous de ses Jeux… de l’UNSS, de ses Jeux Européens, et de l’ensemble des initiatives porteuses d’égalité, de mixité. Souvenons-nous des initiatives du « Paris-Séoul » et de la « Terre à la Lune », mais aussi du « Cross de toutes les couleurs », en relation avec la Ligue des Droits de l’Homme,  pour mieux dire l’importance accordée à la pratique sportive de toute la communauté humaine scolarisée sur le sol français, quel que soit son monde d’origine .

Alors maintenant l’UNSS tournerait le dos à ce grand projet social ? Pire : elle endiguerait les avancées des pratiques des filles, alors qu’elle constitue la fédération française la plus féminisée, en imposant un football « sexué », c’est-à-dire marqué de l’oppression de sexe ! …et le reste à suivre ??

« Quels blocages l’idéologie libérale a-t-elle  bien pu nous inoculer, à notre insu, petit à petit, habilement… ? Où est la profession, la rebelle, l’ambitieuse, la dynamique ? », s’interroge Alain Briglia  dans ce même bulletin du SNEP, qui sous la plume de Nina Charlier, dénonce et condamne le machisme de « pastille rose ». Et il ajoute… « pour penser l’école comme une fabrique d’espoir, d’avenir, d’émancipation au lieu de l’assujettir à une dimension utilitariste renforçant les inégalités sociales, déjà à l’œuvre ».

Et s’il est une inégalité sociale, encore à l’œuvre, c’est bien celle  de l’inégalité des sexes. De même que les affaires DSK en avaient révélé la persistance tenace, de même le vide juridique qui a suivi la suppression de la loi sanctionnant le harcèlement sexuel, précipitant dans le néant un millier de dossiers,  ont réveillé les combats des  féministes.

Pourtant le sport n’est pas intégré dans les combats du féminisme ! Les exigences égalitaires des jeunes filles et des femmes sont-elles suffisamment présentes dans nos actions militantes qu’elles soient sportives, sociales, syndicales ou politiques ? Au point qu’un directeur de l’UNSS et un président de football se permettent d’irriguer de sexisme le foot féminin de l’Education Nationale ! 

                  Tout ce qui fait inégalité doit être combattu. Tolérance zéro !                 

                  Ne laissons pas le sport à la porte du féminisme !

Oui la profession, la rebelle, l’ambitieuse, la dynamique doit réagir, et elle va le faire partout où c’est possible.  Mais au-delà, il faut faire de cette grande question de la place des femmes dans le sport un enjeu de société. Parce que le sport actuellement espace de culture du machisme, doit et peut devenir un des vecteurs de ce projet d’émancipation auquel nous nous référons, comme projet humain. Et cette démarche doit être portée par tout le mouvement social !

Ne laissons rien passer ! Osons le féminisme ! Déjà notre texte syndical « Vers un manifeste pour l’EPS » est porteur de cette « problématique sociale », il peut encore être enrichi.

Construisons dans l’ambition ! Celle de l’Education Nationale et de son sport scolaire que nous continuerons à investir d’un rôle social à égalité de droits, d’accès aux pratiques et de responsabilités… «au nom de  l’idéal  qui nous faisait combattre et qui nous pousse encore à nous battre aujourd’hui » Aragon. 

8 mars 2013. L’égalité, c’est possible maintenant !

le 04 mars 2013

8 mars 2013. L’égalité, c’est possible maintenant !

Le 8 mars est une journée emblématique des luttes des femmes pour faire reculer les discriminations, les dominations, conquérir l’égalité des droits.

Membre du collectif 13 Droits des femmes, le PCF 13 participera à la manifestation, vendredi 8 mars, à 18 heures, au départ des Mobiles.

Après de grandes conquêtes, l’égalité n’est pourtant pas encore la réalité du quotidien pour de nombreuses femmes. Il est donc temps d’écrire une nouvelle page du féminisme d’aujourd’hui afin d’obtenir :

  • L'égalité professionnelle tant promise mais toujours pas appliquée malgré la profusion de lois. Les discriminations, les inégalités salariales, la précarité de l'emploi des femmes sont toujours les normes et l'accord national interprofessionnel (ANI) constitue  un recul sans précédent, véritable amplificateur de ce que les femmes vivent.
  • Le droit à la santé pour toutes et tous, d’autant que  la loi Bachelot (loi Hôpital Patient Santé  Territoire) continue de s’appliquer, entrainant une véritable casse du service public de santé. Le grand public doit accéder à des informations sérieuses sur l'ensemble des choix contraceptifs.
  • L’application réelle de la loi du 9 Juillet 2010 concernant les violences contre les femmes, loin d’être éradiquées. Créons les conditions de l’adoption d'une loi cadre, comportant des mesures de prévention, d’éducation et de sanctions avec des moyens humains et financiers pour leurs mises en œuvre.

Nous sommes solidaires de toutes ces femmes qui agissent partout dans le monde contre l’oppresseur quel qu’il soit. Tunisiennes, Egyptiennes, Iraniennes, Syriennes, Palestiniennes, Maliennes, partout la voix des femmes se lèvent pour la liberté, la paix, la dignité et l’émancipation humaine. Les femmes sont au premier rang pour empêcher les dérives sectaires, autoritaires et obscurantistes qui veulent entraver les mouvements de libération des peuples.

La fédération du PCF 13

Manifestation pour les droits des femmes

le 04 mars 2013

Manifestation pour les droits des femmes
Aux Mobiles
Marseille

Vendredi 8 mars à 18h

Soutien à la maternité des Bluets

le 02 mars 2013

Le vendredi 8 mars à 14h30

Pierre Laurent, sénateur de Paris et secrétaire national du PCF, rendra visite aux salariés de la maternité des Bluets, accompagné d'Hélène Bidard, Conseillère de Paris et de Nicolas Bonnet adjoint à la Maire du 12e en charge de l'égalité Femme/homme. 

 

 

A l'occasion du 8 mars, journée internationale des droits des femmes, le PCF se mobilise et lutte pour faire avancer les droits des femmes et l'égalité entre les femmes et les hommes partout dans le monde.

Le 8 mars est une journée emblématique des combats des femmes pour faire reculer les discriminations, les dominations. C'est le rendez-vous des femmes du monde entier qui luttent pour le respect de leurs droits. Dans le monde trop de femmes vivent encore sous les contraintes, parfois même jusqu'à en mourir.

Le Ministère des droits des femmes, pour lequel le PCF s'est battu, doit, avec le gouvernement de gauche, entendre les voix populaires, celles des hommes et des femmes qui veulent écrire une nouvelle page dont le fil conducteur est l'égalité : l'égalité professionnelle, le droit à la santé pour toutes et tous, l'éradication des violences faites aux femmes...

Le PCF exige que les conditions soient créées pour l'adoption de la loi cadre, comportant des mesures de prévention, d'éducation et de sanctions avec les moyens humains et financiers pour leur mise en œuvre.

Pierre Laurent, secrétaire national du PCF et sénateur de Paris, vendredi 8 mars à la Maternité des Bluets pour une visite et un échange avec le personnel sur les enjeux liés à la santé des femmes.

08 MARS!!Journée Internationale de lutte pour les Droits des Femmes!!

le 02 mars 2013

08 MARS!!Journée Internationale de lutte pour les Droits des Femmes!!

 

 

 

 

Manifestations contre l'ANI le 5 Mars

le 02 mars 2013

Manifestations contre l'ANI le 5 Mars

 

MANIFESTATIONS POUR DIRE NON!

A ORLEANS: 10h30 Parvis de la Cathédrale

A MONTARGIS: Place du Pâtis 

A GIEN: Place de la Victoire

                                      CE QUE NOUS DEVONS SAVOIR!!!

       

 

Fête de la musique, FAITES DE LA MUSIQUE !

le 02 mars 2013

Fête de la musique, FAITES DE LA MUSIQUE !

Scène ouverte:
Venez avec vos instruments de musique, votre voix ou votre envie de faire la fête.

Sangria et tapas pour partager un grand moment de solidarité.
Au 32, rue Saint-Yves (métro Alésia)