Le LEM

Le LEM
Accueil

TRACT - EN MARCHE CONTRE LES INEGALITES - journée internationale droits des femmes

Par Communication nationale, le 21 February 2014

TRACT - EN MARCHE CONTRE LES INEGALITES - journée internationale droits des femmes

Ce 8 mars n'a rien d'une journée de commémoration, au contraire, il s'inscrit dans la longue marche des femmes pour s'opposer aux remises en cause de leurs droits et pour conquérir l'égalité réelle entre les femmes et les hommes, facteur d'émancipation humaine.

manifestation unitaire

- 8 mars -

14h

Bastille

Paris

 

En luttant pour conquérir de nouveaux droits, les femmes ont fait progresser toute la société. Récemment les parlementaires ont ouvert le débat sur une loi dite « égalité globale », c’est une démarche positive mais qu'en est-il ? Peu de choses sur ce qui tient le plus à cœur des femmes, à savoir l'égalité professionnelle et salariale, l'espoir d'avoir un emploi à temps plein. Pourtant, une fois de plus, chacun s’accorde à dire qu’il faut sanctionner les entreprises. Malheureusement, depuis l'accord interprofessionnel de 2004, seulement 4 ou 5 d'entre elles l'ont été en l’espace de 10 ans. Deux poids, deux mesures puisque dans le même temps, les entreprises contrevenantes continuent de percevoir des millions d'euros d'aides publiques et bénéficient de l'Accord national interprofessionnelle (ANI) validant et favorisant le travail à temps partiel, dans lequel la précarité d'emploi et de vie sont renforcées.
Dans un pays développé comme la France, au XXIème siècle, les femmes représentent 40 % des travailleuses pauvres et 30 % des actives occupent un emploi à temps partiel !

N’est-ce pas un scandale, une profonde injustice qui devraient mobiliser l’ensemble des responsables politiques ?

N’est-ce pas un scandale, une profonde injustice qui devraient être combattus en urgence par l’ensemble des syndicats ?

Les résistances, les mobilisations devraient être à la hauteur des inégalités que subissent les femmes.

Le rapport des forces, avec un gouvernement de gauche, ayant mis en place un Ministère des Droits des femmes, doit permettre de franchir des avancées considérables en la matière.

D’ailleurs, ce gouvernement a su tenir bon en supprimant, par exemple, la notion de « situation de détresse » dans les critères de droit à l'IVG, ou encore en faisant voter la loi pour le mariage pour toutes et tous.

Ce 8 mars doit être un grand moment de mobilisation de toutes et tous les progressistes en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes.

QUELQUES PROPOSITIONS EN FAVEUR DE L'EGALITE PROFESSIONNELLE

 

  • Mise en place d'un corps d'inspecteurs du travail à l'égalité

  • Réelles sanctions aux entreprises contrevenantes

  • Publication au-delà de l’affichage en interne des condamnations

  • Abrogation du travail à temps partiel contraint.

D’autant que la droite et son extrême envahissent la rue, soutenant et accompagnant des forces ultra-conservatrices, tenantes d'un « ordre moral », pour attaquer très durement les droits des femmes.

On assiste à une véritable croisade anti-mariage pour toutes et tous, une levée de boucliers contre le droit à l’avortement. Ils s’en prennent à l’école en brandissant la soi-disant théorie du genre comme une menace de civilisation.

En vérité, ne pouvant s’opposer à la politique économique du gouvernement qu’ils approuvent, c'est à l'égalité entre femmes et hommes, entre citoyennes et citoyens, ferment de la démocratie et de l’État de droit, que ces forces rétrogrades s'en prennent. Hélas, face à ces conservatismes, le gouvernement abdique, allant de reculs en reculs, sur la famille, sur la PMA, ou encore sur les privilèges accordés au grand patronat que le MEDEF défend becs et ongles.

Ce sont nos droits fondamentaux qui sont en péril et que nous entendons bien défendre ! En cette année du 70ème anniversaire du droit de vote des femmes, nous exigeons la reconnaissance d'une citoyenneté à part entière.
Du Nord au Sud, d’Est en Ouest, patriarcat et capitalisme se confortent mutuellement pour promouvoir la casse sociale, la concentration des pouvoirs, les violences, l’aggravation des inégalités,  l‘autoritarisme.

Le 8 mars fait, cette année, particulièrement écho à la solidarité avec les femmes espagnoles, dont le droit à la maternité choisie pourrait être interdit, avec les femmes européennes qui se mobilisent en faveur d’une Europe démocratique, féministe, solidaire des femmes du monde entier. Particulièrement celles du Maghreb et du Moyen-Orient qui luttent pour leur dignité, leur liberté et un monde sans pauvreté et sans violence. Bravo aux Tunisiennes pour leur première victoire constitutionnelle !

Du local au mondial, les communistes participent aux luttes, sont à l’initiative pour libérer la société des discriminations et des inégalités sexistes. A quelques jours des élections municipales, nous réaffirmons que tous et toutes les élu-es proposé-e-s par le PCF sont et seront mobilisé-es pour faire avancer l'égalité entre les femmes et les hommes.
 

Journée internationale des femmes 2014 : Les femmes publiques, actrices de changement social et politique

le 10 February 2014

Journée internationale des femmes 2014 : Les femmes publiques, actrices de changement social et politique

Journée internationale des femmes 2014 : Les femmes publiques, actrices de changement social et politique :  

Le vendredi 7 mars 2014 au soir à Poitiers :

  • Manif déambulatoire et festive à partir de 18h30, rendez-vous Place du Marché.
  • 19h30 au Local apéro dinatoire
  • 20h30 spectacle gratuit « Louise Michel » et débat, au Local

 

Les Allobroges du 07 février 2014

le 07 February 2014

Les Allobroges du 07 février 2014

Sommaire :

·  Page 1 ► Espoir et fraternité, vers un joli mois de mai pour l’Europe

·  Page 2 et 3 ► Journée du 06 février

·  Page 4 ► Loi sur la réforme de l’Inspection du travail/ La santé bucco-dentaire

·  Page 5 et 6► La fiscalité des entreprises

·  Page 7 ► Vote du rapport Lunacek

·  Page 8 ► La défense de l’IVG

·  Page 9 ► Municipales et « pacte de solidarité » à gauche

·  Page 10 ► Les 10 000 emplois manquants sont des emplois associatifs/ Manif ASTI

·  Page 11 ► Droit des femmes au Chili/  la nouvelle constitution tunisienne

·  Page 12 et 13► Agenda

 

 

Les Allobroges du 30 janvier 2014

le 06 February 2014

Les Allobroges du 30 janvier 2014

Loi sur la famille : un recul qui sonne comme une retraite (communiqué de presse du Front de Gauche de la Vienne)

le 04 February 2014

Loi sur la famille : un recul qui sonne comme une retraite (communiqué de presse du Front de Gauche de la Vienne)

Le gouvernement et le président de la république capitulent en rase campagne et renoncent aux promesses de Hollande d'instaurer la PMA pour toutes les femmes.

En dépit des explications du gouvernement, ce recul sonne comme une retraite. Au lendemain d'une manifestation rassemblant droite et extrême-droite, il recule devant les manifestations d'une minorité, même bruyante, obscurantiste et opposée à tout progrès de la société. La PMA constitue une avancée importante pour des milliers de femmes. Cette dérobade sous la pression est une défaite pour tous.

Les attaques contre les droits des femmes participent d'une offensive ultra-réactionnaire qui s'exprime par des propos racistes, sexistes, homophobes et antisémites.
Nous ne laisserons pas faire ce mouvement de régression. Être sur la défensive sur la PMA aussi bien que sur le vote des étrangers ou la promotion des valeurs d'égalité favorise les idées réactionnaires défendues par l'extrême-droite et une partie de la Droite.

 

LeFront de Gauche de la Vienne
www.frontdegauche86.fr

Pour une rue Marguerite Obrecht à Metz

le 04 February 2014

Pour une rue Marguerite Obrecht à Metz

Au cours du dernier conseil municipal, Jacques Maréchal est intervenu une nouvelle fois, pour demander que la municipalité rende hommage à Marguerite Obrecht. Marguerite Obrecht, dit Margeot était une résistante membre du groupe Mario. Engagée dès la première heure, elle a connu l’enferment au fort de Queuleu puis au camp de Schirmeck.   Il est regrettable que cette proposition n’est pas connu de suite pour l’instant. Il reste une séance du conseil de cette mandature pour réparer ce fâcheux oubli. En pièce jointe la biographie de Marguerite  Obrecht établie par l’historien Pierre Schill et publié dans le Maitron.

 

Voir en Pièce jointe : Marguerite Obrecht

8 mars, Monchy-Saint-Eloi - Cuba Coopération France et sa section de l'Oise-Journée internationale des droits de la Femme

le 03 February 2014

8 mars, Monchy-Saint-Eloi - Cuba Coopération France et sa section de l'Oise-Journée internationale des droits de la Femme

Cuba Coopération France et son comité de l'Oise vous invitent à célébrer la

 

Journée internationale des droits de la Femme

samedi 8 mars à partir de 17 heures

salle des Fêtes de Monchy-Saint-Eloi

 

Programme

  • 17 heures - Débat « La condition féminine et la lutte des femmes à Cuba et en France »
    • avec la participation de
      • Yeny Reyes Garcia, membre de l'ambassade de la République de Cuba
      • Viviane Claux, membre du Conseil national du PCF
  • 19 heures - Apéritif
  • 20 heures - Paëlla
    • Tarif : 20 € • Moins de 12 ans : 10 € • Moins de 6 ans : gratuit
  • Soirée dansante animée par le groupe de danses latines de Beauvais (démonstration et initiation)

 

 

Uni(e)s pour défendre le droit à l’avortement. Compte rendu de la manifestation de Madrid

le 02 February 2014

Uni(e)s pour défendre le droit à l’avortement. Compte rendu de la manifestation de Madrid

EL  TREN POR LA LIBERTAD

La locomotive c’est le féminisme

A Madrid, le 2 février 2014 - Marie-Thérèse Martinelli - MMF-France 

Samedi 1er Février 2014 à Madrid.

Arrivée une demi heure avant l’heure prévue pour l’accueil du « Train pour la Liberté », il était déjà impossible de sortir de la gare d‘Atocha. Le trajet pour atteindre le lieu de rendez-vous, dans une ambiance et très politisée, se parlant par petits groupes sans se connaître, fut une excellente entrée en matière. L’Espagne qui s’exprimait là était loin des scandales financiers, loin du football abêtissant, loin des commérages « people » qui alimentent des heures des chaînes de télé « basura » (poubelle). L’Espagne que l’on aime, combative, joyeuse, rebelle était bien là !

La gare d’Atocha s’ouvre sur une très grande esplanade qui était noire de personnes. Majoritairement des femmes mais aussi pas mal d’hommes. Une forte présence de jeunes mais les plus âgées étaient majoritaires. Furieuses que les luttes pour la liberté de l’avortement, menées en Espagne depuis les années 80, acquises par étapes difficiles, soient encore remises en cause, menacées par un gouvernement héritier de l’idéologie franquiste, complètement inféodé à l’Episcopat Catholique.

Voici quelques slogans qui ont particulièrement attiré mon attention :

Beaucoup de slogans contre le gouvernement fasciste, contre la hiérarchie de l’église catholique, contre le patriarcat et le machisme. En voici quelques uns : 

  • Decidir nos hace libres – décider nous rend libres
  • C’est à cause d’un gouvernement « facha » fasciste
  • No pasara !  « elle ne pasera pas ! »
  • « La liberté est mienne, elle est à moi mais je ne la vends pas » « la libertad es mia, la tengo pero no la vendo »
  • Dehors les rosaires de nos ovaires « fuera los rosarios de nuestros ovarios »
  • SI SE PUEDE – SI SE PUEDE – SI SE PUEDE –

Une manif énorme, féministe, il n’y en avait jamais eu une semblable en Espagne. Parmi les grandes manifs, elles pensent que celle d’aujourd’hui était la seconde par importance.

Ce n’était pas une marée - comme ils ont l’habitude d’appeler les grandes manifs - c’était un Tsunami. Nous étions environ 100.000. Les femmes des Asturies, qui ont été à l’initiative du train pour la liberté, n’avaient jamais imaginé la participation d‘une telle multitude. Mise en mouvement à 12h, la foule remplissait encore la grande place du départ à 14h30.

Ce fut un moment historique, un moment qui donne de l’espoir, de l’énergie militante, un événement où la solidarité internationale s’est exprimée de manière massive. Plus de trente villes en France ont organisé des rassemblements ou des cortèges à travers toute la France.

L’Europe aussi était très mobilisée : l’Italie, la Belgique, la Macédoine, la Suisse, le Royaume Uni.

A la fin de la Manif, trois femmes (deux espagnoles et une française) ont remis un manifeste destiné au Chef du Gouvernement, à Gallardon, à la Ministre de la Santé, avec signature sur le registre officiel afin d’officialiser la communication de notre NON collectif .

De 15h à 18h, l’AUDITORIUM des Comisiones Obreras - le deuxième syndicat important avec  l’UGT - a accueilli un millier de participant-e-s. Des DVD, une chorale décapante, des interventions des différents groupes présents, ont été écoutés, applaudis,  remerciés.

Des groupes féministes venus de beaucoup de régions espagnoles : de Catalogne, d’Alicante, d’Albacete, de Valladolid, de Malaga, des Asturies, de Madrid et toute son agglomération, groupes LGTB, des femmes Rurales, la Fédération des jeunes féministes, (las jovenas), les moins jeunes qui luttent depuis la mort du franquisme.

Le mouvement des jeunes communistes espagnols. Des groupes d’hommes qui s’organisent pour défendre les droits et les libertés incluant les luttes que mènent les femmes, ils se disent féministyes.

  • Les syndicats : UGT, Comisiones Obreras.
  • Les partis : Izquierda Unida, le PSOE, PCE.

La loi espagnole, qui se dit vouloir protéger le « à naître », ne se donne pas les moyens institutionnels et sécuritaires pour que femmes qui sont elles bien vivantes ne soient pas assassinées par leur conjoint. L’hypocrisie est totale, ils veulent protéger ce qui n’existe pas encore mais ils permettent que le désespoir économique entraîne des hommes et des femmes au suicide, que les hommes violents maltraitent leurs conjointes, que des hommes pédophiles abusent des enfants, etc.

L’inquiétude commune de la montée des extrêmes droites, de l’avancée des religions qui s’accompagnent de la tentative d’anéantir les droits et les libertés acquises par les femmes, s’est  exprimée plusieurs fois. Les mesures d’austérité ainsi que les droits des femmes constamment menacés sont aussi une tentative de nous ramener à « notre place »,  de nous faire revenir « à la maison ».

Une grande énergie issue de notre rassemblement, de notre unité, de notre solidarité seule nous permettra de faire barrage à ce massacre de nos droits et de nos libertés.

Vendredi 8 février une autre manif est prévue.

Les Allobroges de la Drôme du 16 janvier 2014

le 02 February 2014

Les Allobroges de la Drôme du 16 janvier 2014

SOMMAIRE :

• Page 1 ► Edito
• Page 2 ► Pétition citoyenne  
• Page 3 ► Centres de santé et sécurité sociale / Logement
• Page 4 ► PMA / Violences faites aux femmes
• Page 5 ► Boycotte des marques Unilever
• Page 6 ► Loi d’amnistie pour les syndicalistes
• Page 7 ► Pour l’amélioration du service public ferroviaire
• Page 8 ► Une victoire qui en appelle une autre
• Page 9 ► Manifestation pour le don du sang
• Page 10 ► En 2014 mobilisons-nous pour renforcer la Gauche européenne
• Page 11 ► Contre le dumping social / Une réforme de la PAC sans ambition
• Page 12 ► Pour 2014 : Des vœux de résistance, fraternité et solidarité!
• Page 13 ► Histoire : la conférence de Wansee
• Page 14 ► Au cinéma, vive l’exploitation indépendante !
• Page 15 ► La novlangue 2014
• Page 16 ► Agenda

 

 

Mobilisation. Faire échec aux forces les plus rétrogrades

le 02 February 2014

Mobilisation. Faire échec aux forces les plus rétrogrades

4.000 personnes ont défilé hier à Marseille pour le droit à l’IVG en solidarité avec les Espagnoles. Les Marseillaises et les Marseillais n’ont pas ménagé leurs efforts pour faire de cette mobilisation un grand succès.
 

Lue sur une pancarte brandie par une militante du Collectif 13 des droits des femmes, cette petite phrase : « Vos rosaires sont à nous, nos ovaires sont à nous. » Dès 14h30, sur le Vieux-Port, le ton de la manifestation, qui s’est déclinée dans toute l’Europe en soutien aux droits des femmes espagnoles à l’avortement lourdement menacé par le gouvernement Rajoy, était donné. « Nous n’allons pas laisser le terrain et la rue aux partisans du retour au Moyen-âge, au pouvoir de l’Eglise qui s’est toujours alliée aux forces les plus réactionnaires et obscures des sociétés dans lesquelles elle a sévi, dont l’Espagne est un douloureux exemple. » Marie, militante du Parti communiste et du Front de gauche, dont les troupes constituent un maillon très fort de cette mobilisation de plusieurs milliers de personnes qui ont défilé jusqu’à la CMCI,  où siège la représentation locale de la communauté européenne, ne mâche pas ses mots : « Ce qui se passe en Espagne doit alerter tous les progressistes. Car aucun pays n’est à l’abri de l’extrême-droite et du clergé intégriste qui l’accompagne. »

Et chacun d’avoir en tête la « manif pour tous » contre le mariage homosexuel, orchestrée par la droite et l’extrême-droite et les catholiques purs et durs de ce pays.

La bonne vieille stratégie du bouc-émissaire

Pour l’ensemble des nombreuses organisations -syndicats, partis, associations- qui ont appelé à cette manifestation, il est évident que la vigilance est de rigueur. Alain Barlatier, Secrétaire départemental de la FSU, explique la présence de son organisation par la nécessité de dénoncer cette régression conduite par « les forces réactionnaires liées aux hiérarchies religieuses ». Pour le dirigeant syndical, « ce retour de l’ordre moral et sociétal » est la conséquence de « l’échec du gouvernement du Premier ministre espagnol sur le plan social et du chômage. Ce qui le conduit à rechercher des boucs-émissaires ». Une bonne vieille stratégie pour « renvoyer les femmes dans leurs foyers et orchestrer ainsi la division des salariés ».

Impensable de revenir en arrière

Pour Dolorès, trentenaire espagnole qui est née avec la « movida », ce mouvement qui a libéré les citoyens de son pays d’origine de la chape de plomb qui pesait sur eux, il est « impensable que l’on puisse revenir ainsi en arrière. Mais j’ai confiance en le peuple espagnol qui ne s’est pas débarrassé du carcan du franquisme pour voir à nouveau pointer le mufle de la bête immonde. Et voyez vous-même, dit-elle en brandissant son téléphone portable, les nouvelles que j’ai en provenance de Madrid font état de centaines de milliers de personnes dans les rues ».

A cet égard, Marseille n’aura pas été avare de sa solidarité.

Gérard Lanux (La Marseillaise, le 2 février 2014)